Pantin

Beauvoire est pompiste. Pompiste à Pantin. Depuis sa station service, qui ne pourrait être que l'épicentre d'un grand nulle part, le narrateur de ces Chroniques fait du périurbain le centre de toutes choses.

A Florence, dans une galerie d’art, le narrateur, se trouve face à une photographie qui va raviver en lui des souvenirs lointains.

À la fin du XIX^ème siècle, des hommes – explorateurs, scientifiques, aventuriers, mais aussi nombre d'illuminés –, se brûlent les ailes en caressant le doux rêve de conquérir l'inconnu, braver le ciel, coloniser l'espace qui leur était alors inaccessible, atteindre les territoires encore dévolus à l'imaginaire.

« "J’ai toujours voulu voir un Martien, dit Michael. Où ils sont, p’pa ? Tu avais promis.

Calfeutrée dans des frontières trop étroites, la langue dépérit et se meurt.

Il y a comme une joyeuse ritournelle qui s'échappe des bibliothèques de Pantin... L'exposition "Amours" est l'occasion de se replonger les plus beaux textes de la littérature. Laissez-vous tenter !